Chez Alfa Romeo, l’heure est à la rationnalisation. On sent donc tout de suite l’influence et également la pression exercée par les instances dirigeantes de Stellantis !
Le ton est donné : il s’agit de simplifier et uniformiser les gammes des Alfa Romeo Stelvio et Giulia en Europe. Rien de très glamour au départ pour les clients…
Premier point positif : la garantie Alfa Romeo progresse en gagnant une année supplémentaire ( Maximum Care +1 an ou 120.000 km maximum ). Il s’agit d’une offre commerciale, qui pourrait donc être limitée dans le temps.
Deuxième annonce positive : une augmentation du niveau d’équipements, même si la marque avoue que le rapport prix-équipements reste finalement…stable.
Quatre niveaux d’équipements sont désormais proposés : Super, Sprint, TI et Veloce. Les prix débutent à 45600 euros pour la Giulia Super diesel 160 ch, et à 49500 euros pour le Stelvio Super diesel 160 ch. En 2016 lors de sa sortie, la Giulia 180 ch diesel était affichée à 41200 euros ( voir notre essai de l’Alfa Romeo Giulia )
Ce premier niveau comprend de série :
- Chargeur de téléphone à induction
- Régulateur de vitesse adaptatif
- Pédalier aluminium
- Volant Sport
- Levier de vitesse Sport
- Ciel de toit sombre
- Eclairage d’ambiance
- Face avant type Veloce (sur Giulia)
- Double sortie d’échappement (sur Giulia)
Au niveau des moteurs, peu de pertes puisque seules deux versions sont supprimées en propulsion : la Giulia 280 ch essence et le Stelvio 190 ch diesel. Ces deux moteurs sont désormais uniquement disponibles en transmission intégrale Q4.
Alfa a veillé à simplifier la configuration des voitures avec une réduction du nombre d’options et de packs. L’inverse proposé par les constructeurs allemands, qui sont les rivaux directs d’Alfa ! Attention, on n’est pas chez Opel ou Citroën.
Que les fans de la marque se rassurent, dans l’immédiat le gros V6 de 510 ch est toujours proposé sous le capot des versions Quadrifoglio. Mais jusqu’à quand ?