Surfant sur la vague « SUV », Volvo n’a eu aucun mal à imposer son modèle XC60 depuis sa sortie commerciale. D’ailleurs, ce modèle représente à lui seul près du tiers des ventes du constructeur suédois sur l’Hexagone pour l’année 2010.
La gamme XC60 accueille depuis peu une nouvelle motorisation diesel « D3 ».
En montant le nouveau petit cinq cylindres, le constructeur Volvo rend le XC60 « écologiquement correct« .
DESIGN :
Le XC60 a été développé sur la même plate forme que celui du Land Rover Freelander, mais avec un empattement différent. Malgré son look de 4 x 4, le XC60 peut recevoir deux ou quatre roues motrices.
La partie inférieure, tout en muscles, donne un sentiment de robustesse et de sécurité tout en préservant une certaine fluidité.
Tandis que la ligne fuselée et la poupe marquée lui confèrent une allure sportive.
Le XC60 se positionne entre le break baroudeur XC70 et le XC90. Ce tout-terrain aux pliures de caisse insolites n’a pas eu de mal a trouver son public sur le marché des SUV dit « premium ».
Notre version d’essai disposait de jolies jantes alliages 18 pouces « diamant/anthracite mat » à la présentation originale.
VIE A BORD :
Tout d’abord, il convient de rappeler que c’est la finition haut de gamme « Xénium » qu’il nous a été donné d’essayer. L’ensemble apparaît bien fini, si bien qu’il est difficile d’émettre la moindre critique… à quelques détails près.
On relèvera une carence de rangements, trop peu nombreux pour un véhicule de cette envergure.
Reste que l’habitacle et surtout la sellerie cuir respire la qualité. Cuir et plastiques d’excellente facture et ergonomie de bon aloi rivalisent sans mal avec les standards germaniques.
L’accès à bord est particulièrement aisé, et le seuil d’assise positionné plus haut par rapport au niveau du sol favorise l’installation des passagers. L’habitabilité est également un des points fort du modèle.
Notre version d’essai disposait du toit ouvrant panoramique en deux parties avec pare-soleil électrique : un véritable « plus » pour l’habitable qui gagne en luminosité. A noter que ce toit ouvrant est de série sur la version Xénium.
Une ergonomie sans faille :
Le conducteur trouve très rapidement ses marques au volant avec une ergonomie simple et efficace.
La console centrale regroupe les principales commandes (climatisation, téléphone, radio & multimédia).
La position de conduite « haute » est également très appréciable, tandis que les sièges offrent un confort irréprochable grâce à une assise de siège implantée assez proche du plancher. Enfin, la belle amplitude de réglage du volant donne la possibilité d’étendre davantage les jambes sans pour autant nuire à la position dominante sur la route.
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Bonjour,
Il y a deux ans, au moment de faire un choix sur des SUV premiums, j’avais retenu les 3 modèles suivants : Audi Q5, Infiniti EX et Volvo XC60,
Pour les avoir essayé tous les 3, j’affirme (ben oui) que le Volvo n’est pas au niveau de la gamme premium. Effectivement, il y a deux ans il était en deçà (pb. de finition et de qualité de matériaux, touché des plastics moyen). Je ne comprends pas pourquoi les journalistes continuent à classer Volvo dans le premium alors qu’il est, à mon sens, un ton en dessous…
rien a avoir avec se que tu raconte j ai eu aussi un q5 que des problèmes
on ne classe pas toutes les voitures dans le même sac
mon frère a une volvo xc 60 un bonheur
c est la loterie ca
sinon elle sont toutes les mêmes
j aimerai savoir la consommation entre une q5 et volvo xc60
et savoir on terme de confort se que vous me conseillez
merci de me répondre